COLLOQUE DU CERCLE FREUDIEN

Par surcroît

12,13,14 Octobre 2012

92bis ,boulevard du Montparnasse. Paris 14°

 

Argument des journées

Par surcroît ?…

« Guérison » est actuellement un signifiant dont la psychanalyse peut difficilement se servir. Elle ne peut pas non plus s’en passer.
Avant de l’amener vers d’autres horizons, le constat de la réaction
thérapeutique négative au cœur de l’expérience fut vécu par Freud comme une menace dont la psychanalyse pouvait ne pas se remettre. Nous en sommes là aujourd’hui, alors que la psychanalyse subit un nouveau rejet.
La psychanalyse est née du soin des troubles psychiques et ceci reste un pilier.
Même si Freud avance, en 1926, que « l’importance de la psychanalyse en tant que science de l’inconscient dépasse largement son importance thérapeutique », il continue à affirmer en 1932 qu’elle constitue «  le procédé thérapeutique le plus puissant ». Non seulement le plus puissant, mais surtout le plus digne, car nous ne voulons pas d’une guérison obtenue par des procédés dégradants qui détruisent l’humain dans l’humain.
La guérison vient par surcroît. Cet énoncé, subversif au moment où Freud l’avançait et où Lacan le reprenait, visait à souligner la singularité du désir de l’analyste ...

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http://www.cerclefreudien.org/psychanalyse/COLLOQUE-DU-CERCLE-FREUDIEN-PAR-SURCROIT-57.php