Troyes, samedi 24 novembre 2007
Actualité de la Psychanalyse à Troyes
Rapport d’activités 2006-2007
L’association Actualité de la psychanalyse à Troyes a été fondée le 2 octobre 2006, date de la déclaration officielle en préfecture. Ce rapport d’activité est donc le premier de son histoire. A ce titre, il comporte une présentation assez détaillée de l’association, de son pourquoi et de son comment. Les activités concernées ont eu lieu dans la période qui va du 2 octobre2006 au 1er janvier 2008.

A. Pourquoi ?
1) Historique
Des groupes de travail psychanalytiques existent à Troyes depuis 15 ans et plus. La psychanalyse était présente auparavant, notamment en pédopsychiatrie grâce à l’orientation impulsée par Mme M. Carton, mais aussi par l’intérêt qu’y portent depuis longtemps de nombreuses personnes engagées dans une pratique clinique, particulièrement psychiatres et psychologues ainsi que certains psychothérapeutes et d’autres praticiens. Pour beaucoup, elle représente un soutien dans leur travail, ainsi qu’une source de créativité.
Quelque chose de nouveau s’est passé en 1992 à l’occasion d’une conférence de Serge Leclaire, invité par la librairie Les Passeurs de textes. Comme souvent à Troyes, l’assistance était nombreuse. Deux vieux copains, Pierre Kahn et Danièle Lévy, plutôt lacaniens de formation et qui avaient tous deux des attaches dans la région, s’y sont retrouvés et se sont dit : pourquoi n’existerait-il pas un travail psychanalytique laïque sur la ville ?
Laïque, c’est ce que la psychanalyse est en son fond : une discipline autonome, avec une méthode et une conceptualisation qui lui sont propres. Ni sa méthode, ni sa ou ses théorisations ne sont réductibles à des savoirs académiques ou à des pratiques instituées (psychologie, médecine, psychiatrie, travail social, etc.). Bien que leur objet semble commun : comprendre les humains pour mieux les soigner ou les aider, l’abord psychanalytique est différent et les résultats le sont aussi. Mais, justement parce qu’elle est différente, la psychanalyse apporte à chacune de ces disciplines voisines un éclairage nouveau, tant sur le plan de la méthode que sur le plan de la pensée et de la compréhension.
Une bonne douzaine de « psys » se sont déclarés intéressés, des réunions ont eu lieu, on a invité J.B. Pontalis pour une conférence publique, puis décidé de travailler en petits groupes, et c’est ce qui s’est fait depuis.
La pluralité des orientations psychanalytiques était présente dès le début, elle a été considérée comme un fait, comme une donnée de base ; et nous nous sommes aperçus à l’usage qu’elle n’était pas du tout un obstacle au travail commun, à condition que l’enjeu ne soit pas de reconnaissance mutuelle, mais de penser nos pratiques à la lumière de la psychanalyse, parlée dans ses différents dialectes.
Je n’ai pas dit que cela allait de soi. Le respect de l’autre ne figure pas dans les données immédiates de la conscience et encore moins dans celles de l’inconscient. Les vocabulaires ne sont pas les mêmes, les formations diffèrent sur certains points, les sensibilités aussi peut-être ; mais on parle de la même chose, et avec un objectif commun, que l’on peut définir ainsi : faire une place à la vie psychique.
Il existe un autre terrain commun entre les psychanalystes de différentes écoles. On n’y pense pas souvent, mais il est là, sous nos pieds : les mœurs du mouvement psychanalytique. Ce sont des habitudes, des façons d’exister et de travailler ensemble qui se sont instaurées au fil de l’histoire. Ces habitudes ne sont pas de purs rituels, mais des solutions qui ont été réfléchies et adoptées pour répondre à des problèmes délicats de formation, de transmission et d’éthique. Il n’est pas rare que le travail suscite des questions embarrassantes, et c’est alors que le bien fondé de ces coutumes apparaît ; parfois, il faut inventer des façons de faire nouvelles.
2) Pourquoi créer une association ?
Le pas suivant, exister publiquement comme association, ne s’est imposé qu’après de longues années de travail. Non sans réticences ; les plus profondes et les plus justifiées tenaient à la discrétion due aux personnes que nous recevons, j’y reviendrai. La plus forte raison de passer par-dessus ces réserves et de faire en sorte qu’il existe une animation psychanalytique sur notre région tient à la conjoncture actuelle, où une nouvelle méthode de gestion, notamment mais pas seulement en Santé, tente d’escamoter cette dimension de la vie psychique dont la psychanalyse a découvert le caractère vital et la complexité.
Escamoter la vie psychique, c’est grave. Nous savons depuis les premières hystériques traitées par Freud que le silence imposé à certains aspects de la vie est lourd de conséquences : apparition ou aggravation effrénée de symptômes et de déchaînements divers, violents parfois, résistant aux soins les plus consciencieux et aux dernières innovations techniques tant que leur source n’est pas reconnue.
Un autre effet de cet escamotage se fait sentir de façon criante dans les institutions de soin et de prise en charge médico-sociale, pour lesquelles la « rationalisation » semble particulièrement inadéquate. En effet, elle se traduit par un quadrillage des activités, une réduction des moyens et un bouleversement des structures qui engendrent une tension excessive et découragent toute initiative. Les équipes souffrent, et le travail aussi. Les tensions se traduisent régulièrement en conflits sans issue. Alors que la méthode psychanalytique, bien souvent, et sans nécessairement impliquer une cure approfondie, permet une libération de la parole, des énergies, de la créativité qui s’accompagne d’effets thérapeutiques évidents. Cette motivation nous incite à surmonter certaines craintes pour faire exister ouvertement la psychanalyse dans une ville, dans un département où les personnes impliquées dans le médico-social au sens large se comptent par centaines.
Certes, la mise en œuvre de la méthode psychanalytique requiert de chacun un investissement personnel et un travail constant. On y passe des soirées… Mais ce n’est pas pesant, parce que la psychanalyse est une discipline vivante et pleine de surprises pour celui qui s’y investit, chacun à sa façon. Nous avons voulu faire de la place, pour chacun qui se sentirait concerné, à ce travail et à cet objet intéressants.
C’est ainsi qu’un an de réflexion sur ce que nous voulions et pouvions faire a abouti, grâce à des discussions où chacun carburait vraiment, au texte simple que vous avez pu lire sur le site, et qu’il s’agit maintenant de mettre en oeuvre :
L'association Actualité de la Psychanalyse à Troyes a pour but de contribuer à faire connaître la psychanalyse et les développements de la pensée freudienne, sur Troyes et sa région.
Fondée le 1er Octobre 2006, elle est ouverte à tous ceux que la psychanalyse concerne du fait de leurs pratiques professionnelles, sociales et culturelles, dans le respect de la diversité des appartenances et des échanges cliniques.
Elle témoigne de l'engagement de ses membres dans la psychanalyse et de sa pertinence dans l'abord des problématiques actuelles, quels qu'en soient les champs d'intervention.
Elle vise à développer la démarche clinique, la réflexion éthique et l'expérience nécessaires au questionnement psychanalytique.
Elle propose des espaces de travail, organise des conférences ou manifestations ouvertes à tous, dans le but de susciter de nouveaux espaces d'élaboration auprès d'institutions, de groupes ou de personnes sensibilisées à la psychanalyse.

Un mot pour conclure cette première partie, un mot sur l’argent. Nos activités ne sont financées par personne, ni laboratoire, ni institutions, ni collectivités locales. Et tant qu’il ne s’agira que de parler et penser ensemble, nous n’avons pas l’intention de solliciter qui que ce soit. C’est le prix de notre indépendance et aussi, de notre investissement dans la psychanalyse. C’est aussi pour cela que nos activités ne sont pas gratuites : nous vous demandons votre participation aux frais.
Et puisque l’association avait pour enjeu d’affirmer la présence de la psychanalyse dans la cité, nous avons souhaité l’inscrire sur la liste des associations répertoriées et la domicilier ici, à la Maison des associations où nous sommes aujourd’hui réunis, 63 avenue Pasteur, où vous pouvez adresser des courriers.
Remercions Monsieur Pascal Thomas, maire adjoint aux activités sportives et culturelles, pour son accueil.
B. Comment ? Quelques caractéristiques du travail analytique
Avant de présenter les divers types d’activité proposés par l’association, deux précisions d’ordre méthodologique me paraissent s’imposer. L’une concerne la théorie, l’autre l’éthique psychanalytique.
1) La théorie analytique n’est pas un protocole
La théorie psychanalytique n’est jamais une théorie achevée, au sens ou tout aurait été dit, il ne resterait plus qu’à appliquer. Mais elle est souvent présentée ainsi, dans les media et aussi par certains soi-disant psychanalystes qui font semblant de comprendre, mais restent à distance. Un travail psychanalytique proprement dit ne peut pas être l’application d’une grille de lecture ; il ne vise aucun consensus et n’a lieu qu’au delà, de l’autre côté de ce qu’on sait déjà. Il ne s’agit pas non plus de se mettre d’accord sur un diagnostic, ni sur la mise en place d’un traitement, comme en médecine par exemple, où l’un, le médecin ou l’équipe médicale, applique sa grille de lecture à l’autre, appelé « malade » ou « patient » ; si le patient vient et revient à ses séances, ce n’est pas de la « compliance », c’est parce qu’il y est porté par du désir.
Dans une relation de type psychanalytique, quelle qu’elle soit, les personnes s’engagent personnellement. Elles s’engagent dans une recherche qui ne passe que par la parole, et qui est aussi une discipline de la parole. Cette recherche singulière ne vise ni l’accord ni l’adéquation, mais découvre ce qui, ne trouvant pas sa place dans les échanges habituels ou convenus, y sème la perturbation.
On comprend pourquoi le travail psychanalytique convient particulièrement aux questions épineuses. On comprend aussi pourquoi la psychanalyse est bien plus proche de la réalité quotidienne des échanges - et de la sagesse populaire -, que des dogmes et des sciences.
Ce type d’échange, sur lequel il resterait beaucoup à dire, permet des découvertes et produit des connaissances. Certaines connaissances issues de la psychanalyse sont aujourd’hui largement diffusées et en partie comprises. Une autre partie semble résister à toute tentative de diffusion. Seule l’expérience analytique en ouvre l’accès pas après pas.
Deux autres raisons font que la théorie analytique n’est pas applicable comme un protocole. D’une part, on le sait par plus d’une source, chaque personne est unique, et évolue dans le temps. Il s’ensuit que pour chacune et à chaque moment il faudra trouver un moyen de lui ouvrir le champ de la parole. D’autre part, et de plus, les façons de s’adresser à l’autre et ce qu’on peut en attendre varient suivant les cultures et évoluent dans le temps. Cette évolution aujourd’hui crève les yeux, au point qu’on parle d’un changement de civilisation. Freud soutenait qu’aucune civilisation ne peut éviter de produire un malaise en même temps que ses bienfaits : les formes de cet inévitable malaise, les formes du mal-être, changent avec la civilisation. Les psychanalystes sont aux premières loges pour percevoir ces variations, car aucune autre pratique ne va si loin dans l’exploration fine des problématiques psychiques et des interactions entre personnes. Mais qu’est-ce qui est constant, qu’est-ce qui se modifie ? Il n’est pas facile de repérer les changements, notamment parce qu’en général nous avons été formés par les générations antérieures. Nous sommes pourtant tenus de trouver au mal-être contemporain des réponses psychanalytiques, ce qui nécessite un travail en commun.
2) Le secret professionnel
La seconde précision est d’ordre éthique : dans tous nos échanges, y compris dans les groupes privés, nous faisons en sorte que les personnes ne soient pas identifiables. Il n’est pas question de livrer l’intimité de ceux et celles qui se confient à nous aux bavardages, aux jugements, aux évaluations. Aussi n’est-ce pas des personnes dont nous parlons. Ce qui est discuté, ce n’est pas l’intimité d’une personne, ni même les moyens de résoudre une pathologie : nous parlons entre nous des formes du travail entre patient et psychanalyste, en respectant la discrétion due à l’un et à l’autre. À la différence du secret médical, qui peut circuler d’un médecin à l’autre, le secret psychanalytique est absolu. Toute personne qui s’engage dans un travail de type analytique est tenue à la même discrétion totale. Dans les cas où nous avons à répercuter quelque chose, par exemple auprès des équipes, il faudra trouver le bon style : dire ce qui lleur est nécessaire sans trahir le secret du travail personnel ? Il y faut toute une réflexion.
C’est aussi pour cette raison que les conférenciers invités ne seront généralement pas des troyens et que les psychanalystes depuis toujours se déplacent et vont ailleurs parler de leurs recherches.
C. Activités actuelles de l’association
1.Activités publiques
a) Les conférences ouvertes à tous
Nous y convions des analystes de différentes orientations à s’exprimer sur des questions actuelles, qui se posent à tous et auxquelles nous nous heurtons dans notre pratique quotidienne. Ils parlent à partir de leur expérience et de leur réflexion du moment. Ces conférences sont donc toujours l’exposé d’une recherche en cours, à l’articulation de la théorie et de la pratique.
Au cours de l’année passée, deux conférences publiques ont été organisées :
- L’une sur Le narcissisme dans la cure, donnée le 21 octobre 2006 par une psychanalyste venue d’Argentine, Gilda Sabsay Foks, membre de l’APA (Association psychanalytique argentine, membre de l’IPA) introduisait la différence entre le narcissisme qui paralyse, qu’elle appelle thanatique (de Thanatos, la mort), et le narcissisme qu’elle dit érotique parce qu’il permet de vivre sa vie, de désirer, en renonçant à être parfaitement conforme à l’idéal.
- La seconde conférence a eu lieu le 28 septembre dernier. Pierre Kammerer, psychologue et psychanalyste formé notamment auprès de C. Balier, qui a introduit la méthode psychanalytique dans les prisons, auprès de grands criminels notamment sexuels, décrivait sous le titre Violences et passages à l’acte en institution de soin un fonctionnement institutionnel inspiré des apports de la psychanalyse. Il en ressortait que le passage à l’acte, loin de devoir être traité comme une aggravation de la symptomatologie, peut aussi être l’occasion d’une remise en route de la vie subjective et des échanges.
Pour 2008, une conférence aura lieu le18 janvier, intitulée : L’enfant et son image. Quand l’enfant perd son visage. Importance de l’expérience du semblable.
Marcianne Blévis, qui viendra nous parler sur ce thème, est psychanalyste à Paris, membre de la Société de psychanalyse freudienne. Psychiatre, elle a travaillé pendant 20 ans dans un hôpital de jour pour enfants psychotiques et autistes à Montreuil (93) et est actuellement responsable du département des psychothérapies psychanalytiques à la Clinique des maladies mentales et de l'encéphale (Hôpital St Anne, Paris). Elle a publié l’année dernière La jalousie, délices et tourments (Seuil 2006), et des collègues proches l’avaient invitée à Troyes à cette occasion.
- Une ou deux autres conférences sont prévues, au printemps et en automne. Elles seront annoncées sur le site.
b) Le site
L’autre activité publique de l’association est la constitution et la mise à jour du site « Actualité de la psychanalyse à Troyes ». Notre conception de l’association et son fonctionnement y sont exposés. Vous y trouverez aussi l’annonce de ses activités, avec quand c’est possible des comptes-rendus, par exemple les textes des conférences. Le site est aussi un moyen de vous adresser à l’association et de nous dire ce que vous avez à nous dire : questions, remarques, critiques et suggestions.
À la rubrique Informations sont annoncés des événements ou des activités d’inspiration psychanalytique organisées dans la région en dehors de l’association.
2. Les activités internes
a) Les supervisions ou échanges cliniques
Lorsque c’est possible, nous demandons aux conférenciers invités le vendredi ou à d’autres personnes de passage de passer une partie du samedi avec nous pour un groupe de contrôle ou supervision, au minimum d’échanges cliniques. Ces groupes sont réservés aux membres de l’association qui ont déjà suffisamment travaillé ensemble pour se risquer à parler ensemble de leur clinique. Ce sont des supervisions, elles sont donc payantes.
D’autres types de supervisions ou échanges cliniques sont envisageables …
Les autres activités internes sont celles qui existaient avant la formalisation associative : les groupes dits « cliniques » et les groupes dits « théoriques ». Dans les deux cas, ce sont des groupes restreints, dix personnes constituent un maximum, parce que la psychanalyse d’une part, la clinique d’autre part, ne peuvent pas se travailler en grand groupe. Les groupes existants sont annoncés sur le site.
b) Groupes cliniques
Ils sont ouverts à des personnes ayant une formation analytique et une pratique clinique en institution ou en libéral. Leur rythme est généralement mensuel. Chacun expose au moment qui lui convient un « cas » ou une « vignette clinique » mis en forme à partir de sa pratique. Les exposés sont parfois regroupés autour d’un thème choisi par les participants. Un engagement de travail au moins annuel est attendu
Pour le moment, trois groupes cliniques sont proposés. Pour participer, s’adresser aux responsables des groupes ou passer par le site « Actualité de la psychanalyse à Troyes ».
c) Groupes de travail théoriques
Plus largement ouverts que les groupes cliniques, ils proposent un échange régulier autour d'un thème, d'un concept, d'un texte ou d'un auteur. La clinique ne peut en être absente, car elle seule permet de comprendre les points épineux de la théorie et sa logique générale. La participation à de tels groupes requiert de chacun un travail personnel.
Pour le moment, deux groupes théoriques sont proposés.
Un séminaire intitulé L’énigme de la sexualité est annoncé pour 2008.
Les participants aux groupes de travail sont invités, autant que possible, à s’acquitter de la cotisation annuelle.
D. Fonctionnement de l’association
Je n’en dirai que peu de choses, les statuts figurant sur le site.
L’association comprend des membres actifs et des membres adhérents. Le Conseil d’Administration rassemble tous les membres actifs.
L’Assemblée générale est ouverte à tous, le vote étant réservé aux membres du CA à jour de leur cotisation.
Le Conseil d’administration se réunit régulièrement, environ toutes les six semaines, pour déterminer les projets de l’association, les organiser concrètement et discuter du fonctionnement.
Conclusions
- Pour le moment, les groupes théoriques peuvent faire fonction d’activités intermédiaires. On peut en concevoir d’autres.
- Par exemple, un travail de réflexion peut aider les divers praticiens, notamment ceux qui sont jeunes dans leur métier, à trouver des solutions originales aux difficultés de toutes sortes qu’ils rencontrent dans leur exercice.
- L’association est débutante et ses moyens sont limités. Sa création aura des effets que nous ne pouvons pas prévoir. Les idées viennent à jour lentement, à leur rythme. Suggestions et observations seront les bienvenues.
Danièle Lévy, présidente
Décisions de l’Assemblée générale
- Le rapport moral et le rapport financier sont approuvés à l’unanimité.
- - Le montant de la cotisation annuelle (année civile 2008) reste fixé à 50 €.
- - Renouvellement du bureau : en ce moment de mise en place, il n’y a pas de candidats nouveaux. Le bureau propose sa reconduction pour un an, décision votée à l’unanimité. Il se compose de :
Présidente : Danièle Lévy
Vice-président : Alain Gaillard
Secrétaire : Anne Bazin
Trésorier : Denis Schmitt