Colloque de la SPP

Colloque des monographies :

La Pensée

Samedi 21 novembre 2015

Université Paris Descartes - Amphithéâtre Fraisse

71 avenue Edouard Vaillant
92100 Boulogne-Billancourt

 

Renseignements, inscription sur

http://www.spp.asso.fr/wp/?p=10410

L'Institut Universitaire Rachi a sollicité des membres d'APAT pour animer son séminaire "Approches psychanalytiques" 2014-2015.

Le thème de ce séminaire porte cette année sur "La psychanalyse et le corps"

Six conférences sont proposées des lundis à 20h30 :
 

44èmes Journées de l'ECF

Etre mère - Fantasmes de maternité en psychanalyse

Les 15 et 16 novembre 2014

Palais des Congrès  -  PARIS

 

Assignée au corps et à la reproduction, la maternité a longtemps paru évidente, tangible, naturelle — d’où une histoire des mères relativement récente. À l’écoute du discours des mères, la psychanalyse s’est très vite dégagée de ce préjugé de nature qui ne voyait en elles que les génitrices. Qu’enseigne la psychanalyse ? Qu’il est possible d’avoir un enfant dans son ventre mais pas dans sa tête, ou bien de se sentir mère de la terre entière sans en avoir aucun. La maternité dépasse la biologie de la procréation et de la gestation. Elle se loge dans les rêves, les fantasmes, l’illusion, la sublimation.

Colloque de la SPP

Le meurtre fondateur

Aux origines des conceptions du monde

Samedi 22 et dimanche 23 Novembre 2014

Maison de la Mutualité 24 Rue st Victor - 75005 Paris

 

La notion de meurtre traverse toute l’œuvre de Freud ; de Œdipe à
Moïse, en passant par le meurtre du Père de la horde primitive. Eclipsé par sa
trop étroite liaison au « père », l’acte du meurtre mérite une attention
élective en tant qu’opération psychique engagée dans l’avènement du
désir, de la pensée, des actions humaines. Au décours des troubles de la
mentalisation, cet acte psychique peut être agi en tant que crime, ou
inversement être à l’origine des inhibitions, indéterminations et
défections.

43èmes Journées de l'ECF

Les traumatismes dans la cure analytique

Bonnes et mauvaises rencontres avec le réel

Les 16 et 17 novembre 2013

Palais des Congrès  -  PARIS

 

Il y a une théorie spontanée du traumatisme. Ce qui ne pouvait arriver, est arrivé. Impensable ! Inimaginable ! Insupportable ! Trop.

 « Je me dérègle » — Face à l’impossible réalisé le sujet est perdu, n’est plus celui qu’il était, ni pour lui-même, ni pour les autres. Pas de réponse qui vaille. Le symptôme éclate. La médecine, aidée de la science contemporaine, cherche alors une solution – la pilule du lendemain, la préparation de la veille, la verbalisation immédiate. C’est la réponse par effacement mémoriel — que tout puisse redevenir comme avant et que les hommes vaquent de nouveau à leurs occupations, comme l’exige l’impératif du lien social. Ça n’a pas eu lieu parce que ça n’aurait pas dû avoir lieu.